• Traité d'étude sur la cité d'Hilsbrad

     

    Lorsque l’on évoque la cité d’Hilsbrad, on pense à la splendeur de son palais et à la puissance du roi qui y trône. S’il est vrai que le royaume éponyme a connu bien des heures de gloires, il a aussi connu des périodes de ruines. La capitale en est la preuve la plus évidente.

    Construite au centre du continent, entouré de plaine fertile, elle doit sa gloire première et sa richesse a la vente du produit de la culture et a l’extravagance d’un homme : son premier duc qui fit ériger un manoir sur les hauteur du bourg. Attirant de plus en plus de monde, la ville s’agrandit et s’enrichit rapidement. Il en reste aujourd’hui les riches demeures entourant le palais. Les murs qui ceignent ce quartier sont les restes de la muraille originelle. Les quartiers suivant furent construit au fur et a mesure de l’arrivé de migrant et, parallèlement, la ville se dota d’une armée suffisante pour soumettre quelque peuplades. C’est de cette époque que date le royaume d’Hilsbrad proprement dit. Au sommet de sa gloire, celui-ci englobait tout le territoire allant du nord de l’actuel empire d’Antar au désert de Sagrat au sud. Les Mont-Agnes marquaient alors déjà la frontière avec Galbadia.

    La cité fut également le point d’origine de nombreux culte, des confréries de mages à un obscur groupuscule connu (à peine) sous le nom de « frères illuminés de la sainte obscurité ». En revanche, elle semble être le lieu d’apparition primaire du « culte des cristaux » dont on dit que le sanctuaire principal se trouve dans le sous-sol de la cité, dissimulant encore aujourd’hui les noirs secret de la secte.

    La magnificence de la cité s’exprima sous le règne du roi Vidar Vaan 1er qui entreprit de grands travaux sous la direction de son architecte en chef, un noble venu du nord dont l’histoire a oublié le nom. La cité est alors divisée en cercle entourant le palais majestueux, allant décroissant sur une échelle de richesse, repoussant les pauvres au bas de l’imposante muraille. La défense de la ville fut telle qu’elle fut longtemps réputé imprenable.

    Cette légende pris fin lors de l’invasion du pays par l’armée de l’empire d’Antar qui vit tomber la ville en une nuit. Elle fut alors la proie des flammes et resta en ruine durant près de dix ans, jusqu’à la chute de l’Empereur Nathan.

    Aujourd’hui reconstruite en suivant le plan d’origine, elle resplendit a nouveau, profitant pleinement de la paix qui règne sur le continent.

      


  • Commentaires

    1
    Seya
    Lundi 29 Octobre 2012 à 17:34

    Mon premier commentaire d'annexe, fallait bien que je m'y mette.

    Vente de la culture, tu veux dire de l'agriculture? Enfin je suppose

    Sinon culte de cristaux, référence aux premiers FF?

    Sinon très intéressant, on en sait un peu plus sur Hilsbad, seulement ce traité m'oblige a demander plus de renseignements sur les différents cultes et religions instauré dans le continent. C'est dans les détails et les profondeurs du monde crée qu'on reconnait le talent d'un auteur de SF.

    Au plaisir,

     Seya, qui attend des réponses et d'autre traité

    2
    St Yfrit Profil de St Yfrit
    Mardi 30 Octobre 2012 à 23:27

    oui par vente de la culture, j'entend l'agriculture, le produit des champs, tu n'avais pas besoin de moi pour comprendre mon petit Seya^^

    Non pour une fois aucune réference au premier FF (que je n'ai pas fait d'ailleurs, je suis actuellement sur le 5)

    Les cultes et religions viendront peut etre en traité mais il est un peu tot pour introduire les principaux sans révéler trop d'élément d'intrigue futur, donc tu devra etre patient. Je te corrige: je fais de la fantasy (pour citer un auteur que l'on a en commun "la SF c'est de la fantasy avec des boulons" or icî pas de boulon^^)

    St Yfrit, ravi et sous couette donc ravi-au-lit

    3
    Seya
    Mercredi 31 Octobre 2012 à 15:44

    Cette question était surtout la pour te faire réfléchir au sens de ta phrase et à l'emploi grammatical utilisé. Je pense que tu aurais put donc le formulais autrement tout en gardant cette classe et ce vocabulaire qui nous animes parfois. (oooh des fleurs)

    Et la dans ce petit passage, je me fait une jouer de reciter mon petit truc sur le bordel ambiant qui caractérise ton oeuvre :D Et puis écrire avec un boulon, ca doit etre dur.

    Et il faudra que tu m'explique pourquoi j'ai rit aussi longtemps sur un jeu de mot comme celui la.

    Seya, ravi et sur couette donc ravi-sur-lit (zuuuuut échec critique)

    4
    St Yfrit Profil de St Yfrit
    Mercredi 31 Octobre 2012 à 18:01

    Mon oeuvre n'est point bordelique, elle est simplement plus développé que ce qui est montré ici. Mais si tu tient a rester dans "l'éclairage" qu'en ont eu les premiers lecteur, tu as le droit a la carte et de temps en temp une petite explication de texte autour d'un bon repas (que tu payeras évidement).

    Quand a la reformulation, les traité étant des one-shoot, ils seront peut etre réécri a l'occasion d'une étude ultérieur.

    St Yfrit, spéciliste es jeu de mot foireux et inimitable.

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